• Ces jours-ci, se déroule à Marseille, le 5e Symposium de la recherche sur le sujet "Ville et changement climatique" sous l'égide de la Banque Mondiale.

    Cet évènement est l'occasion d'un échange entre les différents niveaux de gouvernance (pays, villes ...), la recherche et d'autres acteurs privés. Dans le domaine du changement climatique, cette démarche est d'autant plus importante que les différents acteurs des territoires n'ont pas encore trouvé de solution pour répondre à cet enjeu.
    Le lancement de ces échanges ont été l'occasion pour certains participants de pointer certains sujets :

    • Les villes vont à la fois concentrer de plus en plus de population et être un espace de vulnérabilité à plusieurs risques.
    • Les groupes socialement les plus fragile seront particulièrement vulnérables au changement climatique.
    • Les collectivités territoriales ont besoin d'une déclinaison locale des engagements internationaux et d'une reconnaissance de leur propre participation à l'atteinte de ces objectifs.

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  • Alors que la conférence de Poznan touche à sa fin, et que la France avait fait du "paquet Climat-Energie" une des priorités de la Présidence française de l'Union Européenne (PFUE), les pays européens n'ont toujours pas réussi à s'entendre sur un des sujets majeurs du monde occidental.

    Les raisons évoquées par certains pays comme la Pologne sont la dépendance actuelle à certains modes de production d'énergie (charbon), une industrie ancienne ... Le même genre d'argument que ceux avancés par le Etats-Unis par le passé.
    Pour d'autres, comme l'Allemagne, c'est plutôt qu'ils ne veulent pas partager leur relative richesse avec d'autres pays. Tout en prponant l'alliance dans la situation de crise actuelle ...

    Alors avec de tels exemples, que penser de ce qui pourra sortir de la conférence de Copenhague à venir ?

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  • Ces dernières années, nombreux sont les écologistes à prôner l'usage de l'éolien en lieu et place de nombreuses autres sources d'énergie. Leur parole est par ailleurs souvent relayée par d'importantes sociétés pricées qui y voient leur propre intérêt économique dans la construction (encore du BTP dans des secteurs sinon fermés à la construction).

    Mais quel est le bilan de leur implantation ?

    Pour certains, cela défigure le paysage ... Mais les paysages français n'ont plus grand chose de naturel. L'activité de l'homme, en particulier l'agriculture et la sylviculture, en a profondémment changé la physionomie.

    Dans certains pays du Nord de l'Europe, où de vastes sites ont été dédiés à ce mode alternatif de production d'énergie, les biologiste ont constaté un réel impact sur la faune. Ces grandes pales sont une véritable menace pour les oiseaux dont certaines populations se font décimer.

    Enfin dans d'autres pays, on a vu ressurgir des projets de centrales au charbon, pour répondre aux besoins énergétiques de la population (globalement constants) pendant les creux de vent. En effet, c'est le seul mode de production qui soit assez flexible pour s'adapter à ces variations rapides (inférieures à la journée).

    Il n'y a donc qu'une solution réellement viable : changeons de mode de vie et consommons moins d'énergie !

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