• Les conditions de travail se sont dégradées ces dernières décennies, notamment du fait des modalités de gestion du personnel qui n'intègrent plus de connaissance technique du travail réalisé.


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  • L'ONU prévoit 50 millions de réfugiés climatiques d'ici à 2020.


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  • Le changement climatique n'est plus un mythe : c'est maintenant un constant, notamment pour de nombreuses iles du Pacifique.

    Poutant nombreux sont ceux, en France et en Europe, à ne pas vouloir regarder la réalité en face. Il est vrai que les conséquences sont sources d'angoisse : il sera nécessaire de modifier profondément notre mode de vie. Et rien pour le moment ne nous indique ce que sera ce nouveau mode de vie. Ce contexte ne favorise pas la prise de position de nos édiles politiques qui sont toujours frileuses lorsqu'ils ne savent pas où ils vont et surtout qu'il va falloir affronter leur électorat.
    Résultat : tout le monde continue sur sa lancée, notamment les baby-boomeur et autres retraités, qui se disent qu'ils seront morts d'ici-là.

    Ma question à ces égocentrique est simple : que dites-vous à vos enfants et petits enfants (qui payent ou vont payer votre retraite) sur leur avenir ?

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  • Alors que la question des gaz à effet de serre revient de plus en souvent dans l'actualité, rien n'est vraiment dit sur notre niveau de production (si ce n'est la diminution que nous devrions appliquer). La cause est simple : il n'existe pas à l'heure actuelle de méthode unifiée pour mesurer les émissions de GES.

    L'ADEME commercialise une méthodologie, le "Bilan Carbone", auprès des entreprises et des collectivités territoriales. Pour autant, dans la manière d'appliquer cette méthode, de nombreuses possiblités sont offertes ce qui n'assure aucunement l'uniformité des données. Pour l'OCDE et les Nations Unies, cette caractéristique justifie le faite de ne pas diffuser largement la méthodologie.

    Mais le "Bilan Carbone" n'est pas la seule méthodologie, ni au niveau français et encore moins au niveau mondial. Toutes ces méthodes d'estimation des émissions de GES sont appelées "inventaires" dans le langage international en matière de changement climatique.
    Et dans le cadre de la mise en oeuvre des engagements des états en matière de changement climatique (Protocole de Kyoto ...), ces inventaires deviennent d'une importance cruciale. En effet, si les états savent évaluer en grandes masses leurs émissions, la mise en oeuvre de programmes d'actions visant à respecter les engagements passe par les territoires locaux. Or à ces échelles, les méthodologies nationales sont trop grossières. De plus les collectivités territoriales, dont le rôle est de plus en plus reconnu, demandent à voir leur action "récompensée" par les états ce qui nécessite de pouvoir évaluer leur part dans l'atteinte des objectifs.

    Une première démarche pourrait donc être de centraliser les données produites par les territoires, afin de comparer les méthodologies, évaluer les capacités d'uniformisation, avant de fixer des règles simples et cohérentes qui permettent une aggrégation des données entre les territoires.


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