• L'impact du développement sur l'environnement n'est pas nul. Loin s'en faut.


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  • La question de l'impact CO2 de la consommation devrait être évoquée plus souvent


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  • Dans le débat autour de la taxe carbone, un certain nombre de voix s'élève contre cette taxe qui touchera, il est vrai, fortement des familles modestes et dont les capacités de changement de comportement sont limitées, notamment les péri-urbains.

    Si la situation est telle, nos édiles politiques en sont en partie la cause, et pas seulement ceux de droite, mais aussi ceux de gauche. Dans notre société de consommation, tous les partis vantent le mérite, le besoin de cette consommation à outrance : "Je consomme, donc je suis".
    Or les ressources et les capacités d'élimination de notre planète sont limitées. Cette nouvelle taxe entre pleinement dans l'application de ce principe.

    Alors, s'il est vrai que ce sont les populations les moins favorisées qui sont le plus touchées, il pourrait être opportun d'engager une réelle formation/information auprès de ce public, afin de lui donner les moyens (intellectuels) de comprendre et d'agir en conséquence. Car, si le changement de comportement a un coût, il peut être maîtrisé et apporte une qualité de vie, certe différente, mais bien meilleure.


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  • L'Europe, à l'initiative de la France, a engagé une réflexion sur la définition d'une politique de "cohésion territoriale". Ce sujet est d'autant plus complexe que le principe de l'aménagement du territoire est un concept purement français.
    A l'origine, pour la France, il s'agissait de pouvoir prendre en compte, voire valoriser la diversité des territoires ; et notamment ouvrir la voie à une flexibilité dans la mise en oeuvre des politiques européennes. Elle s'est vite confrontée, au-delà de la question de la définition, à l'organisation admnistratives des autres pays, en particulier de l'Allemagne.
    De fait, la situation actuelle qui en résulte, correspond plus au développement d'un vocable commun, qu'à une politique de cohésion. Et les acteurs européens de ce sujet reconnaissent, pour certains, qu'il s'agit plus de développer une pratique de travail commun dans la mise en oeuvre des autres politiques de cohésion (économique, sociale ...) que d'une véritable politique territoriale.
    Si cela peut au moins faire avancer le fonctionnement de l'Europe, il faut s'en réjouir, mais ne pourrait-on aller plus loin ?

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  • Certains critiquent le plan de relance de l'économie élaboré par Sarkozy au motif que nos concitoyens ne vont pas voir leur pouvoir d'achat maintenu, comparant ce plan à celui d'Obama qui cherche à relancer la consommation (mais associé à un principe de protectionnisme).

    Mais, dans notre société mondialisée, le seul financement qui peut apporter un effet sur la population locale est celui qui fournit un emploi à la population française. Or quoi de plus cetain dans ce domaine que d'engager des travaux en France ? Par ailleurs, comme cela est relevé par le gouvernement, le plan de relance s'applique à favoriser la produciton d'infrastrucutres nécessaires au développement de l'économie : aux infrastructures participant aux échanges de biens.
    Malheureusement, en lisant bien entre les lignes, le plan de relance de fait qu'avancer la date de mise en oeuvre de projets déjà engagés, déjà prévus. Il ne s'agit donc que d'un effet d'annonce. Il ne s'agit pas de mettre 26 milliards de plus sur la table, mais d'en mettre une majorité en oeuvre plus rapidement. Certains projets n'auraient effectivement pas été financés par l'Etat en l'absence de ce plan de relance, mais de manière anecdotique.

    Mais la grande difficulté pour le gouvernement était de trouver dans l'urgence (en moins de 2 mois) des projets suffisamment avancés pour être au stade de la mise en oeuvre, et suffisamment validés pour ne pas risquer d'être remis en cause. Et pourtant des association de protection de l'environnement relève l'incohérence de certains de ces projets avec les orientations du Grenlle.
    Il serait donc opportun de donner une suite, qui ne soit pas simplement le suivi de la mise en oeuvre de ces projets, mais une réflexion pour l'identification de nouveaux projets, Grenello-compatibles et nouveaux.
    Un très bon exemple serait la formation de l'ensemble de la population aux enjeux d'évolution de la société de consommation vers une société de production et remettre en avant la valeur (au sens psychologique) "travail".

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